« Et vous, que faites-vous quand vous n’êtes pas langagière? » C’est l’une des questions que j’aime poser aux étudiantes le premier jour de cours à l’université ou lorsque j’anime des ateliers de traduction dictée interactive (TDI). Ce n’est pas juste pour briser la glace. C’est une question qui m’intéresse vraiment. Les loisirs, les intérêts, les talents et les passe-temps des langagières. Et il y a autant de réponses que de traductrices, qu’elles soient étudiantes ou professionnelles.